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vendredi 27 décembre 2013

Les étudiants n’écartent pas une année « blanche »

Les étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar ont effectué une marche « rouge » ce jeudi pour s’opposer aux réformes prises par le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Mary Teuw Niane. Ils comptent aller vers une étape supérieure si le ministre campe sur sa décision.

Les étudiants ont répondu massivement à la marche organisée pour montrer leur désaccord sur les réformes universitaires prises par le ministre  de l’enseignement supérieur et de la recherche, Mary Teuw Niane. Selon Abdoulaye Mané, coordonnateur du Mouvement des élèves et étudiants de la convergence démocratique Bokk Guiss Guiss, l’objectif de cette marche est de combattre l’augmentation des frais d’inscription,  la suppression de la généralisation des bourses, l’installation  d’une police universitaire. « Nous ne sommes pas contre la hausse des frais d’inscription mais nous voulons qu’ils soient graduels. » a-t-il précisé. Il juge contradictoire le fait que l’Etat offre des bourses sociales à des familles diminues pour ensuite demander à leurs enfants de s’inscrire à 25000 Fr ou plus. Les étudiants proposent un montant de 15.000 Fr pour le premier cycle, 30.000 Fr pour le deuxième cycle et 60.000 Fr pour le DEA.
Par rapport à la suppression de la généralisation des bourses, les étudiants sont catégoriques. « Il est impensable de revenir là-dessus vu que c’est un acquis. Des étudiants comme Balla Gaye ont laissé leur vie pour défendre cette cause, c’est un droit acquis et nous n’allons pas revenir en arrière » continue notre interlocuteur.
Par ailleurs, ils ont rencontré hier le ministre à qui ils ont remis un mémorandum mais ce dernier refuse de revenir sur sa décision. De ce fait, les étudiants ont décidé d’aller vers une étape supérieure et n’écartent même pas une « année blanche ». « Si l’Etat persiste, vous savez que les étudiants détiennent un grand moyen de pression. Nous allons bloquer le système éducatif » a laissé entendre Bara Ndiaye, membre du collectif des étudiants. Compte tenu de la situation, ils ont décidé de rencontrer les autorités religieuses pour mettre la pression sur les autorités.  En attendant de voir leurs préoccupations prises en compte, les étudiants comptent jouer leur dernière carte, «  la semaine noire ». Une activité qui va se réaliser dans les jours à venir dans tout le territoire national.



Sangalkam s'enlise dans des conflits fonciers

no coment
Sangalkam est secouée aujourd’hui par des problèmes fonciers qui ont toujours existé. Cependant, ils connaissent une tournure plus dramatiques depuis le découpage administratif de 2012.

Sangalkam comme la plupart des collectivités locales est confrontée à des litiges fonciers.Ces derniers  résultent d’une part, du découpage administratif qui a fait de cette ex communauté rurale, une commune répartie actuellement en quatre communautés rurales (Sangalkam, Diahkaye-Niacourab, Bambilore et Niaga-Tivaoune Peul). Mais ce découpage n’a pas tenu compte de la délimitation physique de la localité malgré le décret de délimitation. Ce qui fait que d’une collectivité locale à une autre on peine à reconnaitre les frontières. Par exemple Entre la communauté rurale de Mbambilor et la commune de Sangakam, on ne sait pas exactement où se limite la seconde et où commence la première. La situation est pareille entre la communauté rurale Niaga-Tivaoune Peul et Sangalkam, Bambilor et Rufisque. D’autre part, il y'a des problèmes entre particuliers car avec la création de la communauté rurale de Sangalkam en 1972, les présidents de communautés rurales ont délivré des terrains sans plan cadastral. En effet, une personne peut élargir son terrain sur celui d’un autre puisque celui-ci n’a pas été défini par un géomètre.
Certains citoyens perdent également leurs terres à la suite d'un prêt. Quelques années après, les bénéficiaires revendiquent la paternité des terres. Ils obtiennent gain de cause aux yeux de la loi car c’est eux qui les exploitent (selon la loi sur le domaine national la terre appartient à ceux qui l’exploitent).
Pour y remédier le président de la délégation spéciale, Omar Gueye junior précise qu’ils ont sollicité l’arbitrage des autorités administratives notamment le préfet. Par rapport à l’acte 3 de la décentralisation Mr Guèye soutient que cette réforme a été bien accueillie par la population. Selon lui, certains étaient réticents au début mais grâce à la caravane de sensibilisation, le ministre et certains spécialistes ont confirmé que le gouvernement va donner aux ruraux la prérogative de gérer leurs terres. Il précise par ailleurs qu’en visitant lui-même certains textes de cet acte, il s’est rendu compte que c’est la forme qui change mais le contenu reste le même.
Sur la question du « droit coutumier » le président de la délégation spéciale soutient qu’on ne peut pas enlever à quelqu’un des terres que ces arrières grands parents ont occupées, il y a des décennies. Il cite lexemple du domaine de Berthin, ce blanc à qui  l’ancien régime avait octroyé un lopin de terre au détriment des populations car ces héritiers avaient un droit coutumier sur cette terre. Il prône la disparition du domaine national pour que la population puisse reprendre les terrains de leurs ancêtres. Si l’on en croit Mr Guèye, cette commune va revenir à l’orthodoxie aux élections locales prochaines en ayant un maire et non pas un président d’une délégation spéciale. Mais le découpage sera maintenu car « certains conseillers du président lui ont fait savoir que la loi ne permet pas de revenir sur cette décision ». Pour rappel, des violences ayant coûté la vie au jeune Malick Ba ont émaillées ce découpage administratif.

Pêche au village de Témé toucouleur :« Les pêcheurs maliens victimes de discrimination »

 
forage de Gnassanté
Les pêcheurs maliens ont dénoncé la discrimination de la part des autorités locales. Ils accusent les agents des eaux et forêts de leur reprendre leurs filets et à la communauté rurale de leur faire verser de l‘argent.

 « Les agents des eaux et forets nous reprochent d’utiliser des méthodes de pêche qui ne sont pas en règle et nous font payer une amende pour la récupération de notre matériel. », s’indigne Kamaye Konté.
Pourtant, les sénégalais, renchérit M. Konté, utilisent de petits filets aux mailles supposées petites et susceptibles d’attraper de petits poissons sans être inquiétés. Ce qui nous irrite le plus c’est que : « La communauté rurale nous payer par an 200.000f CFA en guise de prime tandis que lés pêcheurs sénégalais paient une prime de 15.000f CFA par année », rouspète M. Koné.

Malgré le fait d’avoir sollicité le soutien des autorités de l’ambassade du Mali au Sénégal, les problèmes persistent toujours. Cependant, ils ont affirmé qu’il n’existe aucun conflit entre eux et les éleveurs. La preuve, rassure M. Konté, les maliens parlent bien puular.

mardi 24 décembre 2013

Le système de drainage de la css : une épine dans le cœur des populations de Témé Toucouleur.

La population de Témé est contre le système de drainage de la compagnie sucrière sénégalaise (CSS). C’est une installation de motopompes chargée de déverser les eaux polluées de l’industrie dans le fleuve. Ce qui affecte parfois l’activité agricole, de pêche et de l’élevage. 


Paysans, éleveurs et pêcheurs ont fait part de leur souci par rapport au système de drainage de la CSS. Pour les agriculteurs,  il rend incultivable leurs terres et tuent leurs cultures. Selon Abdoulaye Sarr une partie de son champ est hostile à toute plante car il contient du sel. « Ce sel provient de la canne à sucre. J’ai vu mes pépinières ravagées par ces eaux toxiques de la Css », s’exclame t-il.
Par ailleurs, les pêcheurs et éleveurs rencontrés sur place ont fait savoir qu’il n’existait aucun litige entre eux. Le principal problème qu’ils rencontrent est relatif au drainage. A ce propos, Kamay Konté a soutenu « il arrive qu’on attrape un poisson avec la chair pourrie ». Pire, certaines pertes de bétail, ajoute-il, sont dues à la toxicité de l’eau.
Les habitants ont aussi exprimé leur impuissance face cette pratique. Ils estiment que le chef de village a fait des démarches mais les efforts sont restés vains. Ils accusent les autorités de ne rien faire. « Nos autorités ont les mains liées cause pour laquelle elles préfèrent se tenir à l’écart », se désole M. Sarr.

Interview

Le Directeur de l’Appui au Développement, porte-parole du ministre des Collectivités locales et de la Décentralisation, M. Adama Diouf est revenu, mercredi dernier, sur l’acte 3 de la décentralisation qui suscite un débat passionné.

 A quoi consiste cette réforme?
 "L’acte 3 peut être circonscrit en trois piliers. D’abord, je vous rappelle que le Sénégal a une tradition de décentralisation. Les premières communes ont été créées en 1872 à Saint Louis. Ensuite sont venues Dakar et Gorée. À l’accession de notre pays indépendance en 1960, le Sénégal comptait 33 communes en exercice. En 1972, le président Senghor a voulu donner plus de liberté aux populations rurales en créant les communautés rurales. Abdou Diouf est allé plus loin en instaurant, en 1996, une démocratie locale relative aux régions. De 1972 à 1986, c’était l’administrateur local, le représentant de l’État qui gérait les collectivités locales du point de vue de son budget et de sa planification. En 1990, il y eut une révolution. Le président de la communauté devient le coordinateur du budget. Mais jusqu’en 2012, la mission première qui devrait revenir aux collectivités locales en termes de promotion et de développement n’était pas atteinte. De 1976 à 1996, il fallait que les institutions soient créées. Mais, cela a trop duré. L'acte 3 de la décentralisation a l’ambition de corriger cette ancienne approche, de changer de paradigme en mettant l’accent sur les questions de développement local. Elle se base sur la reconstitution de l’architecture territoriale en simplifiant les échelles gouvernementales. Cette réorganisation des territoires passe par la correction de certaines erreurs notamment les découpages politiciens, qui n’obéissaient pas à cette dimension éthique et équitable de la cohérence territoriale. Il faut aussi corriger les disparités profondes au sein des territoires. Il faut que leur développement soit accompagné de financements. Par exemple, les présidents des communautés rurales avaient beaucoup de volonté, mais n’avaient pas les moyens de leur politique. Donc la réforme a la mission de renverser cette tendance pour apporter plus de moyens et de ressource aux collectivités locales à travers les mécanismes de centralisation tels que les fonds de garantie et les emprunts". 
 Cette réforme suscite beaucoup de critiques ? 
 "Ce qu’on nous reproche, c'est le manque de participation. Les gens pensent qu’on n’a pas assez dialogué. Alors qu’on a installé des commissions thématiques et les gouverneurs de région, la société civile, etc. ont été impliqués. Une grande caravane va sillonner les 45 départements du Sénégal pour sensibiliser les populations sur la réforme".
 Que répondez-vous à ceux disent que votre réforme est un mode d’appropriation des terres ?
 "Ce n’est pas le cas. Le président Macky Sall demande que l'on laisse aux ruraux la prérogative de gérer leurs terres. Il a également insisté sur la réforme de la loi sur le foncier".
 Que pensez -vous des propositions de report des élections locales de 2014 ?
 "La décision revient au Chef de l’État. Ce dernier a organisé une concertation avec les principaux partis et la société civile. D’ailleurs ce n’est même pas un report, mais plutôt un décalage de quelques semaines".

lundi 25 novembre 2013

Benno Bokk Yaakar: une coalition virtuelle

Me Omar Youm
Le ministre des collectivités locales est revenu largement sur l'état actuel de la coalition Benno Bokk Yaakar et précise qu'elle "existe au sommet mais pas à la base.

"Benno Bokk Yaakar existe au sommet mais pas à la base", affirme le ministredes collectivités locales, Me Omar Youm. Ce dernier a tenu ces propos dans l'émission Par Conviction de la 2STV, animée par le journaliste Cheikh Diaby.Par ailleurs, il a supposé que BBY a besoin d'être restructurer a la base. Parce qu'il n'existe pas de règles qui régissent la coalition.Selon, le ministre il ne faut pas confondre l'administration gouvernementale l'administration politique. Par rapport à la rétrogradation d'Alioune Badara Cissé, le ministre a précisé qu'on ne peut pas "être dehors et dedans.

vendredi 22 novembre 2013

PROF. ABDOULAYE DIÈYE : "LES VIOLATIONS DE LA LOI SONT À L'ORIGINE DES CONFLITS FONCIERS"

Face aux étudiants du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information, mercredi après-midi, le professeur Abdoulaye Dièye, spécialiste du droit foncier, a disséqué la politique et la gestion du foncier au Sénégal. C'était dans le cadre du démarrage du projet "Médias et Bonne gouvernance", fruit d'un partenariat entre le CESTI et OXFAM Novib.

Pr  Dièye et Mme Marème Sow au mileu
« Le domaine où il y a le plus de violation au Sénégal est celui du foncier », explique le professeur Abdoulaye Dièye, spécialiste du droit foncier. Domaine sensible, la gestion du foncier à de tout temps été un problème, occasionnant des violences entre individus, entre villages etc. En plus de la méconnaissance et la difficulté à différencier le domaine national de celui de l’Etat et de ceux des particuliers, ces violences sont le fait du refus des milieux sociaux à se soumettre au droit, la juxtaposition de régimes applicables au foncier et le flou ambiant autour de certaines normes, a indiqué le professeur Dièye..Il avance que système foncier est réparti en trois domaines : domaine national qui occupe 95% des terres, le domaine étatique 4% et du domaine privé qui est à 1%.« Jadis les populations s’approprient les terres selon les usages et les coutumes pendant le temps colonial. Après en 1964, il y a eu une loi qui prévoyait l’institution de communauté rurale. Mais c’est à partir de 1982 que l’on va assister à une véritable institution de communauté rurale ». a-t-il indiqué. Et de poursuivre "Au Sénégal, il y a une violation totale de la loi tous les jours, c'est pourquoi les réformes sur le foncier n'ont pas répondu aux attentes". Le professeur Abdoulaye Dièye, dans le cadre des "Carrefours d'actualité" du CESTI, a souligné que l'accaparement des terres par des multinationales au détriment des populations locales, est la conséquence logique d'une mauvaise réforme foncière avec l'inefficacité des lois, la résistance du milieu social et la non applicabilité des décrets. Selon le professeur Dièye, les violations du système foncier au Sénégal sont à l'origine de nombreux conflits. Fanaye et Sangalkam, entre autres, en sont des exemples achevés. Les textes s’adaptant à des contextes bien déterminés, il est temps d'après le professeur Dièye de penser à une réforme foncière qui épouse les réalités de notre ère. De l'avis de cet expert en question foncière, pour réussir les réformes, il faudra répondre à ces trois questions : une réforme pour qui ? pourquoi ? et avec qui ? Madame Marième Sow d'ENDA-PRONAT, invitée à ce carrefour d'actualité, a projeté un film intitulé "Ma terre, Ma vie" avant de faire une communication axée sur "l'Agriculture familiale face au phénomène d'accaparement des terres", un phénomène récent, qui date selon elle de la fin des années 90 et le début des années 2000. Mme Sow a dénoncé l'attribution des terres à des étrangers au profit des autochtones. Elle préconise les exploitations locales afin d'assurer la sécurité alimentaire. Cette unitiative sera effective avec une volonté "scientifique de l'Etat". Par rapport à l'acte 3 de la décentration, Mme Sow affirme que les vrais ruraux sont fiers de l'être. Elle montre que le passage des communautés rurales à des communes ne profitent pas aux ruraux. C'est en quelque sorte une manière de s'approprier des terres.

En route pour la coupe du monde 2014 au Brésil

L'équipe nationale française est en route pour la coupe du monde 2014 au Brésil. Elle a décrochée sa victoire contre l’Ukraine ce mardi, au Stade de France. Une authentique victoire des bleus 
qui ont renversé la tendance du match aller qui s'était terminé sur 2-0.

lundi 18 novembre 2013

Les partis de gauche contre le nouvel impérialisme occidentale en Afrique

Les partis membres du forum de la gauche africaine Alnef ont pris après leur assemblée générale du 15 au 17 novembre, l'engagement de mettre fin à toute forme d'impérialisme en Afrique.




Les partis membres de l'alnef ont décrié hier, à Dakar, la mainmise des occidentaux sur les ressources africaines. Ces derniers estiment que la plupart des conflits en Afrique sont le résultat de cette nouvelle forme d'impérialisme. Et affirment avoir identifié les principales voies par lesquelles ils pénètrent dans le continent.
L'assemblée Générale a réuni 22 pays africains. A L’issue de cette rencontre 17 résolutions ont été prises dont plus importantes portent sur les crises qui secouent le continent.Le Mali, la Tunisie et l'Egypte en sont cité comme des exemples.Ils ont manifesté leur soutient au Cuba, à la Palestine et à la Syrie.




vendredi 15 novembre 2013

Une nouvelle ère pour la coopération entre l'Egypte et le Sénégal

Le ministre des Affaires étrangères d'Egypte, Nabil Fahmy a effectué une visite au Sénégal, le Week-End dernier. L'objectif de cette visite est de renforcer la coopération entre les deux pays.


Le ministre des Affaires étrangères étrangères égyptiennes, Nabil Fahmy lors de sa visite au Sénégal s'est entretenu avec se homologue Mankeur Ndiaye, le président de l'assemblée nationale, Moustapha Niass et le président Macky Sall pour expliquer aux autorités la nouvelle feuille de route du nouveau régime. Mais aussi sa volonté de poursuivre le développement des relations entre les deux pays dans le domaines de l'éducation, de l'économie et du commerce. En compagnie du Directeur du département Afrique du ministère égyptien du commerce, il a rencontré les hommes d'affaires sénégalais afin d'augmenter le volume des échanges commerciaux entre le Sénégal et l'Egypte.

lundi 11 novembre 2013

Victoire de l'équipe sénégalaise de Rugby: un grand pas vers la CAN B

équipe de rugby du Sénégal

L'équipe du Sénégal de Rugby a infligé ce dimanche, une défaite au stade Pierre Antoine de Castres de France, son adversaire ivoirien . ce match constitue un un pas vers la Coupe d'Afrique des Nations B de rugby.

L'équipe sénégalaise de rugby a battu ce dimanche, celle de la Cote d'Ivoire sur la marque de 33 à 10.Le match a eu lieu au stade Pierre Antoine de Castres de France et est une occasion pour le Sénégal d'anticiper sa préparation à la CAN B qui doit se jouer à Madagascar en juin prochain.Selon l’entraîneur Jean-Marc-Foucras, cette rencontre les a permis de voir de nouveaux joueurs et de réviser leurs systèmes de jeu.

jeudi 7 novembre 2013

L'assassinat des journalistes de RFI: les investigations progressent

L’enquête se poursuit pour retrouver les meurtriers des deux envoyés spéciaux de RFI: Ghislaine Dupont et Claude Verlon.
Des policiers français sont arrivés lundi, à Bamako pour participer à la recherche des meurtriers des deux journalistes de radio France internationale RFI. Celle-ci a été confiée à la Direction centrale de renseignement intérieur et à la sous-direction antiterroriste.Selon une source réfutée par la porte parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belcacem, 35 personnes ont été interpellés.
 Le président de la République française;François Hollande a de nouveau réitéré sa volonté de retrouver les meurtriers de Ghislaine Dupont et Claude Verlon. Très ému, le chef de l'Etat précise que ce sont des français qui ont été tués ,ais c'est la liberté d'information qui a été visée.
La radio France Internationale a diffusé ce mercredi, en présence des dirigent de la radio, de nombreux collaborateurs, des ministres, et de diplomates un hommages poignant à ces deux spécialistes
d'Afrique.

lundi 4 novembre 2013

Assassinat des journalistes de RFI: le président malien fond en larmes

 Sur le tarmac de Bamako-Sénou
Le Président malien Ibrahim Boubacar Keita n'a pas pu cacher son émotion devant les corps des journalistes de RFI (Ghislaine Dupont et Claude Verlon), assassinés ce samedi à Kidal, situé au nord du Mali.

C'est avec les yeux remplis de larmes que le chef d'Etat malien a condamné ce matin,  l'assassinat des deux reporters de la radio France internationale (RFI) Ghislaine Dupont et Claude Verlon. Il précise par ailleurs qu'il ne veut pas de la vengeance mais surtout de la justice. IBK réclame à la France de poursuivre sa lutte contre le terrorisme au Nord-Mali. Gardés à la morgue de la Minisma, les corps des deux envoyés spéciaux seront rapatriés en France dans nuit du 04 novembre. 

La remise en service de l'usine de Keur Momar Sarr

L'usine de Keur Momar Sarr a redémarré ce lundi, ses travaux pour ravitailler en eau la population dans les vingt quatre heures qui suivent.


Si tout se passe bien, l'eau sera revenue dans les vingt quatre prochains. La remise en service de la station a redémarré hier,etv la première pompe a été ouverte vers 22h 45mn.

mercredi 3 juillet 2013

Quel avenir pour Hissène Habré,

L'ancien président tchadien, Hissène Habré est placé sous mandat de dépôt ce mardi, au pavillon spécial de l’hôpital principal par le tribunal des chambres extraordinaires de Dakar.Reste à savoir quel avenir pour ce t exil' politique?

L'avenir de l'ancien président tchadien reste incertain. Réfugié au Sénégal après être démis par un coup d'Etat orchestré par son ministre de la Défense de l'époque, Idriss Déby, actuel président du Tchat.Il bénéficie alors d'un asile politique au Sénégal.Ce n'est qu'en 2002 que les victimes du génocide tchadiens ont déposé une plainte pour qu'il réponde de ses actes.Mais en 2006, le pouvoir de l'ex président Wade à travers ses institutions, se déclare incompétent de son jugement.Avec l'arrivé au pouvoir de macky Sall, le Sénégal décide de se charger de l'affaire.En effet, un tribunal Spécial avec des chambres extraordinaires est mis en place.De ce fait, il paraît judicieux de s'interroger sur son avenir. Un avenir presque incertain car la plupart des témoins lui seront défavorables même s'il bénéficie du soutient de certaines familles religieuses. Sa garde à vue au pavillon Spécial de l’hôpital Aristide le Dantec montre que son état de santé reste à désirer. Pourra t-il évacuer sa déception à l'égard du Sénégal qui l' a protégé durant 24 ans? Peut-il recevoir de certaines garanties des familles religieuses.Toutes ces interrogations rendent impossibles tout espoir.

jeudi 20 juin 2013

Les accords de Ouagadougou pourront-ils durer?


Après une dizaine de jours de négociations, le gouvernement malien et le mouvement touareg conjoint Mouvement national pour la libération de l’Azawad et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (MNLA) sont finalement parvenus à un accord. Reste à voir si ces accords auront un avenir.


photo des accords de Ouadougou
L'accord entre le gouvernement malien et le Mouvement national pour la libération de l'Azawad a été finalisé ce mercredi, 18juin, à Ouagadougou. « Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali », ainsi est intitulé l’accord.Le seul point qui constituait l'épine de cette négociation a été le retour de l'armée malienne à Kidal. A la longue, ils ont trouvé un terrain d'entente.Ils se sont mis d’accords sur la présence d'une armée conjointe à la mission des nations-unies pour le mali (Misma) et au Serval.Cependant, quelque soit l'équilibre de cet accord, il connait beaucoup de limites.Les exactions de l'armée malienne continuent toujours. et le fait que les Touaregs demande une armée conjointe prouve qu'ils sont un peu réticents sur l'accord concernant la présence de l'armée malienne au Kidal. Par ailleurs, le désarmement des touaregs devrait être effectif.Tous ceux-ci sont contradictoires aux accords de paix.

lundi 17 juin 2013

La question sur le mandat du président de l'assemblée nationale: Revenir à l'orthodoxie

photo de l'assemblée natonale

Si il y a une question qui agite l'arène politique sénégalaise en ce moment c'est le mandat du président de l'assemblée nationale. Soulevée par le secrétaire général  du parti politique Rewmi, Idrissa Seck, elle risque de diviser au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar.


La question sur le mandat du président de l'assemblée nationale a fait couler beaucoup de salive.En effet, soulevée par un des membres de la coalition présidentielle, Idrissa Seck,elle est considérée par les inconditionnels du président comme une propagande pour déstabiliser la mouvance présidentielle. Ce qui n'étonne pas les Sénégalais car pour qui connais cet figure de l’opposition, sait qu' il est très rusé. Cependant force est de reconnaître qu'il faut revenir à l'orthodoxie pour de bonnes et simples raisons: Il faut qu'il ait une continuité dans le travail, il faut faire corriger la loi Sada Ndiaye qui était un jeu politique politicien.Surtout, l'assemblée pour que l'assemblée ne soit pas inférieure à l'exécutif.

samedi 8 juin 2013

RTS, une autre étape de la visite des étudiants en première année au CESTI

Les étudiants en première année au Centre d'Etudes des Sciences de Techniques de l'Information (CESTI) ont effectué leur quatrième visite pédagogique à la radio télévision sénégalaise RTS. Une visite de familiarisation avec cette structure publique où  la plupart des journalistes souhaitent travailler.

photo des étudiants en visite à la RTS
La visite continue du coté des étudiants en première année au cesti. Cette fois-ci, ils ont visité la RTS, la première chaîne nationale sénégalaise, située au boulevard Général De gaule. Nouveau bâtisse construit par  lesJaponais en 1992, la RTS est une constellation de radios et de télévision avec une ligne éditoriale qui varie d' un organe à une autre. A ce qui concerne la radio comme la télé, elle est la seule à diffuser ses informations en langue s nationales."La RST n'est pas un média d'Etat mais un service publique" a déclaré Aliou Ndao chef du desk politique pour relativiser les propos qui soutiennent que la rts est un média qui est du coté de l'Etat. Ce qu'il faut retenir est que les informations étatiques sont prioritaires car c'est lui même qui finance celle-ci.
Elle est constituée d'un dispositif matériel et personnel assez important même si elle est confrontée aussi des difficultés. Ces dernières sont d'ordre financier et dans une moindre mesure technique. Ses réunions de rédactions sont des réponses apportées aux éditions d'avant hier afin d'éviter les erreurs de la veille.
Par ailleurs, les étudiants ont saisi cette occasion pour échanger avec le personnel et les dirigeants.Ce qui les permis d'éclaircir certains points qui étaient jusqu'ici des zones d'ombre sur cet organe de presse.

vendredi 7 juin 2013

Les étudiants en première année du Cesti en contact avec la BBC

Les étudiants en première année au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) ont effectué  ce vendredi, une visite pédagogique à la BBC. Une radio qui se spécifie par sa diversité linguistique et culturelle. Celle-ci entre toujours dans le cadre de la découverte du milieu professionnel dans lequel ils sont appelés à  travailler.

La première étape de la visite a consisté à aller à la découverte des locaux tels sont le studio du journal parler , la salle de rédaction et le régi. A cette occasion, ils ont assisté au bulletin d'information présenté par Atta un belge d'origine rwandais. La seconde étape est une série de questions réponses.
Une BBC dans la diversité
La spécificité de cette dernière réside dans sa diversité linguistique et culturelle.En effet, ses journalistes sont d'origines et de langues diverses. Cause pour la quelle ses réunions de rédaction entre les membre du bureau sont faites  en anglais. En plus ses journaux en Afrique sont en langues française ( bureau de Dakar ), en kenyarwanda (Nairobi) ,en aoussa (Abuja) en swahili (Kyenya). Ses  bureaux se résument en trois sur le sol africains à part les petits services basés en RDC Congo, Juanesbourg etc.
Une ligne éditoriale d'information générale 
La BBC met l'accent uniquement sur l'information, il n'a pas  de commentaires.Ses sources d'informations sont pour la plus part les agences de presse auxquelles ils reprennent en recoupant l'information à travers leurs correspondants sur place.
Son budget financier est assuré non pas par l'Etat mais par les citoyens britanniques et les taxes que ce premier prélève sur les services.
Ainsi, on peut déduire par la suite de cette visite que la BBC est très organisée en équipement et que sa richesse aussi se trouve dans sa diversité.

Le débat bas des politiciens

Le débat politique sénégalais a dégringolé de l'échelon de la respectabilité et de la responsabilité tel est le constat fait par tout le monde.Au lieu de s'intéresser aux préoccupations des populations, les politiciens se livrent à une guerre verbale qui fait penser au monde des animaux où c'est l'instinct  qui commande.

jeudi 30 mai 2013

Une CPI pour les africains?

La Cour Pénale Internationale est une juridiction permanente chargée de juger les personnes accusées de génocide,de crime contre l'humanité, de crime d'agression et de crime de guerre.Donc c'est une réponse aux crimes perpétrées par des chefs d'Etats, des politiques, des militaires etc.Mais,sa légitimité est quelques fois contestée par une élite africaine qui prétend qu'elle est une cours pour les africains.

 Une CPI pour les Africains tel est le sentiment de la plupart des africains.À ce jour, la Cour a ouvert une procédure d’enquête.Dans sept cas, tous en Afrique : l’Ouganda, la République démocratique du Congo, la République de Centrafrique, le Darfour (Soudan), la République du Kenya, la Libye et la Côte d’Ivoire. La Cour a mis en accusation seize personnes, dont sept sont en fuite, deux sont décédées (ou supposées telles), quatre sont en détention, et trois se sont présentées volontairement devant la Cour. Le premier procès de la CPI, celui du Congolais Thomas Lubanga pour crimes de guerre, a commencé le 26 janvier 2009. Le 14 mars 2012, Thomas Lubanga a été reconnu coupable de Crimes de Guerre. C'est le premier jugement de la Cour Pénale Internationale. Ça fait l'objet d' un débat lors du dernier sommet de l'union européenne (UA)avec l'intervention du président en exercice de l'UA, Haile Mariam Dessalegn. Ce dernier a accusé lundi 27 mai, à Addis-Abeba la Cour pénale internationale (CPI) de mener "une sorte de chasse raciale" contre les Africains. "La CPI doit bien voir qu'elle ne devrait pas pourchasser des Africains", a déclaré le premier ministre éthiopienM. Il a assuré que "les dirigeants africains ne comprennent pas les poursuites contre" le président kényan Uhuru Kenyatta et son vice-président William Ruto, inculpés depuis janvier 2012 de crimes contre l'humanité.Ceci n'a pas laissé indifférent la procureure, Fatou Bensouda qui prétend que c'est une manière de protéger les criminels africains.Cependant, la réponse à cette question semble plus affirmative dans la mesure où l'étude staistique la prouve.

vendredi 24 mai 2013

Où va le terrorisme?

La Grande-Bretagne sous le choc , elle a perdu un soldat, sauvagement assassiné en pleine rue. Ceci n'est-elle pas une preuve pour monter que nul n'est à l'abris du terrorisme?

Chavisme sans Chavez

Chavez à l' autre de la terre continue son histoire avec les chavistes
Le président Hugo Chavez n'est plus mais ses ses idéologies demeurent. Le carrefour d'actualité organisé au Centre d'Etude des Science et Techniques de l'information et de la communication (cesti),  ce vendredi 10 mai,a été une occasion pour la cellule des étudiants chavistes de renouveler leur attachement à cette figure  emblématique qui a su dire non au libéralisme américain.

Le cesti a reçu ce vendredi, l'ambassadeur du Venezuela au Sénégal et de la député Carmen  Ces derniers ont fait  un exposé général sur leur pays .Un exposé qui révèle l'aspect hétéroclite de la société vénézuélienne   composée principalement d'une minorité de bourgeois blancs, d'Indiens et de noirs marginalisés.Mais cette situation est devenue un mauvais souvenir avec l'arrivée d'Hugo Chavez. Ce dernier va renverser la situation en mettant le pouvoir entre les mains des masses. Aucun bourgeois n'est plus membre de la mouvance présidentielle.Cause pour la quelle le commandant est traité de tous les noms, asphyxié sur tous les fronts, selon Me Carmen.Mr thierno Diop, professeur en sociologie politique au cesti a abondé dans le même sillage que cette dernière.Il a affirmé par ailleurs que le président Chavez a réduit à zéro l'analphabétisme et a permis à ses citoyens d'être lotis nourris et soignés.
Concernant les élections présidentielles contestées par Henriques Capriles, la député convoques les africains à plus de vigilances face aux informations des monopoles étrangères de presse.Car elles sont pour la plupart partiales,  négatives et dépeintes vis à vis de leurs ennemis.Ainsi, elle est revenue largement sur le processus électorales en assurant que son pays a le système le plus fiable au monde.Ce qui fait que la mort du commandant est largement ressenti aux élections du 14 avril passé.
  


vendredi 10 mai 2013

La manifestation comme réponse politique.

Le droit à la manifestation a hanté à la fin des années 2000, l'esprit des Sénégalais. Au début, il suffisait de mettre des brassards rouges pour montrer son mécontentement.Avec les événements du 23 mars, on assiste à un phénomène, lequel même s'il n'est pas nouveau, a pris des proportions inquiétantes.Une jeunesse sénégalaise qui se livre à des actes de vandalisme dans les mouvements de foule.On casse des biens publics, des espaces publics sont occupés moyennant des dommages de la part des populations environnantes.Garanti par  la constitution, il devient une arme politique très efficace dont usent les politiques politiciens pour alerter l'opinion internationale.Car ils savent qu'à chaque fois que les autorités interdissent les marches quelles qu'en soient les raisons, reçoivent la pression des organismes qui militent pour la défenses des droits de l'homme. 

lundi 6 mai 2013

"Parler sans crainte: Assurer la liberté de presse dans les médias"

"Parler sans crainte:Assurer la liberté de presse dans les médias", tel est le thème de la 20eme anniversaire de la liberté de presse célébrée ce vendredi, ce 03 mai, à la salle de conférence de l'UNESCO-BREDA, sous la présence effective du ministre de la communication,des télécommunications et de l'économie numérique.

La salle de conférence de l'organisation des nations-unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)_BREDA a été le point de rencontre d'imminents personnalités et professionnels de presse, ce vendredi pour se pencher sur la sécurité des journalistes. La cérémonie a débuté sur la demande de la directrice de l'unesco-breda, Me Ann-Thérèse Ndong Jatta par une minute de silence accordée aux journalistes tués à l'exercice de leurs fonctions. Après les allocutions conjointes du représentant du haut commissaire des nations-unies des droits de l'homme, Benjamin Hounton et de la directrice du programme alimentaire alimentaire mondial au Sénégal  Me Ingeborg Maria Breur, c'est au tour du ministre Cheikh Abiboulaye Dièye et du secrétaire général du syndicat des professionnels de l'information et de la communication du sénégal de décrier les violences faites aux journalistes. Ce premier a précisé que la liberté d'expression est  un droit pour tout citoyen. C'est un renforcement de la bonne gouvernance et de la démocratie.Il a précisé que cette violence n'est pas seulement physique mais aussi verbale et symbolique.Mr Khalilou Ndiaye l'a rejoint en parlant de violence psychologique.Celle ci se traduit surtout par le non payement à temps des salaires.Il cite l'exemple des journalistes  d'Africa 7 qui sont à 12 mois d'arriérées de salaires et ceux de Canal info news qui sont à cinq mois. Le ministre a aussi profité de cette occasion pour brosser la question de dépénalisation qui est le principal écueil du code de la presse bloqué au parlement. A ce propos, Papa Assane Touré, magistrat et conseiller technique au ministère de la justice a montré les limites du dispositif de sécurité des journalistes.Ce limite se manifeste sur la protection ambiguë de la source de l'information. Le journaliste est tenu à respecter le secret professionnel. Cependant  sous poursuite judiciaire, le journaliste est obligé de divulguer sa source. Dans un autre coté, il y a les pesanteurs politiques avec comme exemple le saccage de l'AS et de 24 h chronos dont le ministre Farba Sengor était le présumé coupable. Un tel acte est impuni sous prétexte que ce dernier bénéficiait d'une immunité ministérielle.Mais Mr Touré précise que si les actes commis par Mr Senghor sont détachables de ses fonctions, il peut être poursuit.
On a noté aussi la présence du colonel Aliou Ndiaye, commissaire divisionnaire de la police. Il a suggéré le port obligatoire du gilet de presse pour qu'ils (les policiers) puissent identifier les journalistes des manifestants, lesquels usent de leurs dictaphones et caméras pour tromper la vigilances des forces de l'ordre.Le directeur de la (DIRPA), Abou Thiam était de la partie. Ce dernier dans un ton plus ferme a appelé les journalistes à plus de responsabilité dans la collecte et la diffusion de l'information.Il affirme par ailleurs que l'information n'est information que si elle vraie.
La seconde partie de la manifestation est un panel consacré aux journalistes qui ont été victimes de violence.La première est Ndèye Coumba Diop du journal sport  qui, enceinte de trois mois, avait échappé au rafle de balles qui avait visé leur convoi en route de Kaolack. Bocar Dieng est aussi revenu sur sa mésaventures de Fatick.

lundi 29 avril 2013

Les forces dissimulées des grandes puissances en Afrique

Les forces des puissances occidentales sont toujours présentes en Afrique, Qu'elles soient visibles ou dissimulées.
Ce que la France n'a pas oser faire en Chine Elle l'a fait au Congo lors du quatrième sommet de la francophonie avec son homologue Joseph Kabila. Pendant le discours joseph Kabila, le président Hollande n'applaudit pas et prend note religieusement, à l'exception du hommage rendu au président Diouf. Pour la suite prôner des valeurs démocratiques.Pourquoi il ne l'a pas fait en Chine, a qui, la plupart des organisations pour la défense es droits de l'homme indexent pour des violations répétitives des droits humains? Parce que ses intérêts sont plus chinois que congolais ou mieux encore,en Relations Internationales les rapports de forces ne sont point négligeables. 
Au Mexique aussi on a pas vu l'ex président français qui avait déclaré qu'il ira chercher Florence Casez dans tous les cas, violer le territoire mexicain. C'est par la suite de négociation qu'il a obtenu la libération de cette dernière.

Donc, l'Afrique est le continent où on vient cueillir des autorités comme on veut et quand ton veut. Ont-ils oublié la non ingérence des pays dans affaires des autres de la charte des Nations-Unies (ONU), pour venir nous imposer la loi et la démocratie à l'occidentale. Le cas de la Guinée Bissau est le plus alarmant où Le lieutenant-général Antonio Indjai, chef d'état-major des armées, est toujours en fonction et le contre-amiral Bubo Na Tchuto, le chef de la marine supposés être dans le narco terrorisme en lien avec la guérilla colombienne des FARC sont aujourd'hui inculpés aux Etats-Unis.Le second a  été cueilli jusque dans les eaux de ce dernier.Ce qui constitue une vraie violation du territoire bissau-guinéen.

mardi 23 avril 2013

Pape Diouf, une exception à la règle

Le centre d'études des sciences et techniques de l'information(CESTI) a reçu ce mercredi Pape Diouf, l'ancien président de l'Olympique de Marseille. Ce dernier a fait une conférence sur son actuel livre, intitulé: C'est plus qu'un jeu, lequel a fait l'objet de plusieurs critiques notamment sur sa personne et la gestion de l'olympique de Marseille.

C'est aux environs de 16 h 30 mn que l'ancien président de l'Olympique de Marseille est arrivé dans les locaux du cesti. Le directeur, Mr Ibrahima Sarr après avoir pris le soin de le présenter aux étudiants, a estimé que c'est un homme à qui il faut profiter de l'expérience.

Pape Douf, un citoyen qui a pu côtoyer toutes toutes les situations du monde.
Séparé de son pays natal, il a fréquenté très tôt la France un pays de ses rêves.Un pays où la discrimination raciale est notoire.Mais,au sein duquel il affirme y être une exception.Ce qui veut  dire qu'il a été envié et jalousé pas à cause de sa couleur mais de ses acquis et sa persévérance. A chaque difficulté il a su se redresser et la dépasser.C'est un homme à toutes les situations.Chez lui, la haine de la médiocrité est un culte.

Un homme attaché à sa mère.
"A toute difficulté, la première chose est de pensée à ma mère" tels sont les propos de cet homme très ému dont les paroles sont celles d'une personne  très attaché à sa mère.
 Pape Diouf et l'argent.
Par ailleurs, il précise que l'argent n'est pas son moteur et qu'il est distant avec ce dernier.

L'homme de la providence
Un homme qui n'a rien à se reprocher de la gestion de l'olympique du Marseille et affirme avoir couvert le déficit et laissé à la caisse 40 milliards à son départ.

Une oeuvre qui a fait parler de lui.
Son livre a suscité un débat étonnant en France.Ce qui fait sa popularité.A la fois autobiographique et narrative, cette oeuvre a mobilisé des regards à la fois couroucés et critiques.D'aucuns l'ont qualifiée d'un règlement de compte, d'autres dénoncent l'emploi du " je".Ce dernier estime "s'ils avaient la gentillesse et l’amabilité de me proposer un autre, je l'aurait pris".Elle lui a aussi valu l'attaque de certains responsables de l'olympique de Marseille.

Une carrière journalistique éphémère
Journaliste de profession, il a très tôt jeté sa plume.Ceci est  dû, au fait q'une fois en France,  il a trouvé des conditions différentes de celles qu'il avait connues.En plus, il déplore quelque part le métier qui, parfois, ne fait pas appel à une observation du sens de la responsabilité.  


mercredi 17 avril 2013

Karim fournit un recueil pour être cueilli

Inculpé depuis mars 2012 par la cour d'enrichissement illicite (CREI), l'ancien ministre d'Etat, de la coopération et des transports fournit un document de 3000 pages qui le fait couler.

Sur la demande du procureur spécial, Mr Aliou Ndao, les avocats de Karim Wade, pour un mois publie un document de 3000 pages pour expliquer la provenance de la fortune de ce dernier.Ces justifications ne sont pas convaincantes pour le procureur spécial et son substitut Antoine Diom. Ils précisent par ailleurs qu'il n'y a que 42 pages fournies dûment justificatifs le reste n'est que des annexes.

Qui est Karim Wade?

Karim wade, né le 1er septembre 1968, est le fils de l'ancien président de la République, Abdoulaye Wade. Il a été nommé ministre d'État, de la Coopération et des Transports en mai 2009.Conseiller personnel de son père et président de l'Agence nationale de l'Organisation de la conférence islamique (ANOCI), Il a été  le gestionnaire du sommet qui  s'est tenu à Dakar en mars 2008.Candidat aux élections municipales de Dakar,  il a été battu par KHalifa Sall, maire de la ville de Dakar.

 Mais une question anime depuis quelques années le débat politique au Sénégal"comment le fils de l'ancien président qui gérait les plus grands projets de ce pays s'est-il enrichi"? Ce qui lui vaut aujourd'hui une poursuite sur les biens présumés mal acquis.Ainsi devant la demande  du procureur spécial de la cour de l'enrichissement illicite( CREI ), Mr Aliou Ndao, Mr Karim Wade fournit un recueil de 3000 pages pour expliquer la provenance de sa fortune. Mais, ses explications paraissent impertinentes. Par conséquent, il est recueilli chez-lui ce lundi soir par les agents de la maison d'arrêt de correction de Colobane (Mac).Devant ce fait, le  procureur spécial explique que les avocats n'ont écrit que 42 pages pour justifier l'enrichissement de l'ex-ministre, le reste  n'est que des annexes.Ce qui laisse entendre qu'il a voulu les" dribbler" même dans le fournissement de documents dûment justificatifs.Reste à savoir quel avenir lui réserve l'opinion sénégalaise après la sortie du procureur et substitut dans la mesure où nul n'ignore que Karim Wade a des ambitions politiques? 

vendredi 12 avril 2013

Une utopie à la Hollande

"Nous avons deux ans ans pour nous redresser et un an pour nous dépasser"' c'est ce qu'a scandé le président de tous les français. Donc, vous français, attachez vos ceintures la France est sur le point de décoller. Et pour vous qui avez changé de nationalité tel Gérard de Pardieu,commencez à trouver les mots pour reconquérir la France prospère où le taux de croissance dépasse 0.8.Une France où les artistes et les joueurs ne payent plus 75/° d’impôt, où les menteurs n'auront plus la possibilité d’occuper des postes stratégiques et politiques.Vraiment c'est le futur pays où tout sera rose.  

mercredi 10 avril 2013

Chypre au fond du gouffre


Le Chypre pour se redresser a envisagé d'adopter une politique d'austérité à l'image de ses voisins européens comme la Grèce et l'Espagne. Désormais, tous les chypriotes vont devoir payer des taxes sur leurs comptes bancaires. Ce ci set perçu comme un vol pour le président russe Vladimor  Poutine, qui s'engage à négocier avec le gouvernement de Nicos Anastaciades. Ces négociations sont des morts- nés. Cependant, il est judicieux de s'interroger sur le devenir de l'(UE) union européenne.N'est elle pas entrain de connaitre le sort de l'(URSS) l'ex union soviétique.

A la découverte du soleil

C'est aux environs de 15h que les étudiants en première année au (CESTI) ont foulé les portes du Soleil, organe de presse situé à Yarakh. Cette arrivée sera suivie par une visite guidée par Mr Douda Mané,rédacteur en chef intérimaire et chef des desk éducation et environnement. A travers sa personne, ils ont parcouru l’histoire du Soleil.

Le Soleil remonte en 1933 sous le nom de Paris-Dakar qu'il conserve jusqu'en 1961 où il lui est attribué celui de Dakar matin. Ce n'est qu'en mai 1970 que son appellation Soleil fut effective. Un nom que lui a octroyé le président Senghor qui disait à l'époque "et si on l’appelait Soleil". Depuis sa création il a eu comme Directeurs Mr Bara Dioum, Mr Alioune Dramé, Mr Ibrahima Gaye, Mr El Haji Amidou Kassé, Mr Mamadou Sèye et enfin Mr Cheikh Thiam l'actuel Directeur en place depuis 2003. C'est un bâtisse colonial, composé de deux départements: une qui est administratif  et une autre qui est rédactionnel.

La rédaction compte 175 titulaires répartis comme suivi: 251 prestataires, des journalistes, des collaborateurs extérieurs et des stagiaires qui viennent pour la la plupart du CESTI.Le recrutement se fait sur la base du niveau d'étude. Il faut la licence en journalisme pour accéder au Soleil.
"En plus d'être un organe il est une école d’excellence" et le Soleil "a formé plus d'africains que de sénégalais" tels sont les propos du secrétaire général du Synpics, Mr Ibrahima Khalil Ndiaye.
 Dans les salles de rédaction, les étudiants ont été en contact avec les journalistes qui ont décrié la rareté des journalistes notamment les femmes dans le médium presse écrite. Par là, ils ont fait savoir que sur les 200 journalistes, le Soleil n'enrigistre que trois femmes. Ils ont aussi visité le service photo et appris théoriquement le mode de tirage.
Le service technique est le nerf de la rédaction.C'est aussi l'atelier graphique.Il est composé de trois services:  correction; montage et infographique.
Le montage consiste à mettre la page sur du papier à trois. La correction est faite au niveau de la rédaction centrale où des professeurs de lettres modernes relisent toutes les pages pour corriger les coquilles. L'infographie est la finalisation du travail car c'est l'infographe qui harmonise le travail des journalistes. Donc,  le journal de qualité est un long processus qui nécessite du courage.

Par ailleurs,les annonces et la publicité font survivre le journal car au Sénégal la vente des journaux ne nourrit pas ses hommes.
Ainsi,la visite prend fait au parc automobile où Mr Cheikh nous a fait l'économie de celui-ci.

samedi 30 mars 2013

Où en est la transition malienne?

  • La situation actuelle est que Mr  Diocounda Traoré est le président à bord et le capitaine Amadou Aya Sanogo est le décideur.donc Le président est au palais mais le pouvoir est à kati. A côté il y a la France qui se prélasse en seigneur vénéré obéit au doit et à l'oeil qui est chargée actuellement de conduire la transition.

     

vendredi 22 mars 2013

Une visite pédagogique du CESTI à la TFM

VISITE GUIDÉE
Les étudiants en première année du Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'information (CESTI) ont effectué ce mercredi 19 mars une visite pédagogique à la télévision Futurs Médias. C’était sous l'égide du Directeur des études du CESTI, Mr Mamadou Ndiaye.

Cette visite est guidée par l'assistante au Directeur, Oumy Khaïry Ndiaye qui nous a montré les lieux et le 
logiciel  dont ils disposent.Nous sommes allés à la découverte du plateau matinal consacré à l'émission "Yewuleen" du 6h du matin.Là, elle nous a fait part du travail robuste des techniciens qui sont considérés comme les "noyaux" de cette télévision.A la régie on a noté un travail tambour battant de la part des techniciens. Ces derniers qui étaient entrain de réaliser l’émission Kouthia Show  nous ont expliqué les modes d'enregistrent, de diffusion et d'émission des images et des sons .Ainsi, la diffusion  se fait en deux parties: en satellite qui est très claire et en RC qui moins qualitative. L'accès à la salle de transmission nous a été refusé pour des raisons secrètes.Et par là , le reste de la visite s'est penché sur les autres plateaux qui sont parfois fixes ou modulés.Les plateaux fixes consacrent les grandes éditions de 14h et de 20h, sans oublier les débats tels que "Faaram facc", les émissions de société: Wareef , Week-End Star de Boub's. 
Les plateaux modulés sont surtout consacrés aux émissions sportives à l'instar de l'oeil  du tigre.

Par la suite les étudiants sous la complicité de Mr Ndiaye ont posé des questions au rédacteur en chef, Khalifa Diakhaté et au Directeur de l' information, Daha Bâ à savoir : s'il est facile de renvoyer un journaliste? la réponse est tardive mais affirmative. Ils ont précisé par ailleurs que la meilleure posture pour un journaliste est la simplicité dans le traitement de l'information.En terme de perspective ils ont répondu au Directeur des études que la tfm est entrain de faire de son mieux pour refléter le terme de son slogan "miroir du Sénégal".Les étudiants bouclent la tournée à la salle de maquillage dirigée par Mme Fatou Niang. Elle s'est exprimée à la demande de Mr Ndiaye  sur la difficulté de maquiller les hommes qui sont parfois peu réticents pour des raisons socioculturelles. 




                                                                                                                            Marame Coumba Seck
                                                                                                                              Ière année au CESTI

mardi 19 mars 2013

L'Enregistrement illicite de Karim Wade, combine ou soucis de transparence?

L'évocation de la fortune de Karim wade  environ 395 milliards de francs  C FA nous invite à une série d'interrogations: D'abords sur la fiabilité de la mémoire collective des sénégalais dans la mesure où les conditions d'émergence de ce types d'accusations inclinent à penser que l'histoire a encore bégayé. Nul ignore qu'en 1981 la traque des biens mal acquis  n'avait pas aboutis en grande chose. Seules deux personnes ont été arrêtées. L'une était un directeur de société et avait écopé une peine de deux mois. L'autre plus chanceuse n'a purgé que six mois fermes.Par ailleurs, l'opinion avait déduit que c'était une combine contre les senghoristes qui voulaient endiguer la démarche du président Diouf . Aujourd’hui, même si tout laisse à croire que Karim est mêlé jusqu'au bout, d'aucuns pensent plutôt à une combine plutôt qu'un soucis de transparence.Combine pour le contraindre à se concentrer à ses activités politiques.   

lundi 18 mars 2013

La guerre au mali, le début d'un commencement.

L’opération servale avait plongé l'opinion africaine dans une utopie de fin de guerre. La réalité a montré qu'une guerre on sait  la commencer mais on ne sais pas l'arrêter.La France était allée  très vite en besogne lorsqu'elle avait annoncé la date de son retrait en février.Ignore t-elle qui sont les islamistes? Ou c'est son arsenal de guerre qui lui avait  poussé à se bombait la torse? Mais face à ses pertes susceptibles d'alerter l'opinion française qui peut s'interroger au nom de quoi allons nous perdre nos fils, elle est entrain de se réveiller de son sommeil profond. En plus les jihadistes sont des orthodoxes qui n'ont pas peur de la mort car ils croient que le paradis les attend  ouvertement.Ils savent non seulement les coins et les recoins du désert et peuvent apparaître et disparaître quand ils veulent; mais aussi déposer des bombes ça et là. Même s'ils tuent un français cela est perçu chez eux comme une victoire car un "ennemi de l'islam vient de tomber.Face à ce constat on peut en déduire que la guerre au mali est loin de terminer et pour mieux dire elle est entrain de s'enliser. Le conflit malien risque d'être un Afghanistan bis.

vendredi 15 mars 2013

Le Vénézuala a perdu son homme fort

La mort du président Hugo Chavez a plongé les vénézuéliens dans une tristesse.Traité de tous les noms asphyxié sur tous les fronts par l'opinion internationale notamment américaine, le présent Chavez a pu réduire à zéro l'analphabétisme, baisser le taux de chômage.C'est l'homme fort du Vénézuala comme  on le nomme pour la plupart du temps.Ce belliqueux qui savait dire nom aux Etats-unis est décrié par la majorité des organisations des droits de l'homme sous la "houlette" américaine qui l'accusait de tyran.ce qui paraît absurde car on n'a pas besoin d'être un grand observateur pour remarquer que tout régime qui n'est pas conforme à la démocratie occidentale est tyrannique ou antidémocratique.Ce q'a compris le président Chavez qui faisait fil de  cette démocratie obscure au profil de la dictature éclairée.Le mérite qu'il a eu c'est d'avoir tenu tête à la plus grande puissance du monde, qui a  éliminé toutes les figures emblématiques qui ont décliné sa politique.   

jeudi 14 mars 2013

François Ier, un homme à la ligne de Jean Paul II

Enfin le conclave a conclu. Au d-là des pronostiques, l'esprit saint est allé loin pour chercher son 
pape.L'église catholique a un nouveau Pape, il s'agit de l'argentin Jorge Mario Bergolio qui porte désormais le nom de François Ier, le nom que lui a octroyé le conclave.Comme l'a confirmée la plus part des hommes d’église le choix porté a sa personne est dû au fait que c'est homme à la ligne du Pape Jean Paul II. Il est décrit comme quelqu'un de simple. Ce qu'a confirmé son discours qui a fait fil de ce langage roumain diplomatique au profil du langage presque de la rue.Le père Bergolio est un conservateur quand il concerne les dogmes de l’église catholique mais  aussi progressiste.Humble et modéré, beaucoup d'attentes pèsent sur ses épaules.D'aucuns à l'instar du père Boundou du Congo ne s’attendent pas à ce qu'il fasse une synthèse théologique mais une mise en oeuvre  de certaines intuitions de Benoît XVI telles que:la justice, la continuité des processus de réconciliation dans les pays comme la Côte d'Ivoire, donner le ton pour que les pauvres retrouvent l'espoir.En somme il doit être un homme un homme de terrain. 

mercredi 6 mars 2013

L'"orgueil de la France"

Malgré l'annonce faite par le président tchadien Idriss Dédy affirmant la mort des deux chefs rebelles d'aqmi, la France est un réticente face à cette nouvelle. Cette retenue peut être perçue comme un orgueil de sa part car celle-ci peut être perçue comme une impossibilité de la France sans l'aide des troupes africains.Cause pour la quelle l'Algérie sous la houlette de cette dernière est entrain d'effectuer des testes d'ADN susceptibles de prouver la mort de Mokhtar Bel Mokhtar et d'Abou Zeïd.Ce qui est important à retenir est que les pays africains à l'instar du Tchat ont l'habitude d'affronter  des rebelles. Donc il est évident qu'il soit à mesure de faire des résultats.Ce qui est étonnant c'est le fait que le Mali n'a pas dit merci comme il avait fait avec la France et joue ce jeu d'"orgueil". 

Le mali est-il souverain?

    1. Jadis considéré comme le vitrine de la démocratie, le Mali voit sa souveraineté remise en question aujourd'hui. La plupart des maliens surtout les autorités ont apprécié l’intervention de la France "amie".Peut-être ils ont oublié que les pays n'ont pas d'amis mais plutôt des intérêts.Même si la déclaration  du président Hollande prouve le contraire force est de reconnaître que les intérêts français sont menacés surtout avec l’AREVA au Niger.L'avancée des troupes islamistes constituent une menace pour tous les pays d’Afrique de l'Ouest notamment le Sénégal qui est un point géostratégique pour la France. Par ailleurs l'opinion africain ne serait pas surpris si demain la France occupe des bases militaires au Mali.En plus elle a renforcée sa domination idéologique selon laquelle en dehors de ce pays d'outre mer il n’y a point de salut.Cependant, on n'a pas besoin d'être un grand observateur pour constater que la présence d'une autre force militaire sur un territoire même en tant de guerre remet en question la souveraineté nationale de ce dernier. Donc le président tchadien Idriss Déby a raison de  dire que la place des militaires maliens n'est pas pas à Bamako mais plutôt au nord.Certes toute l'Afrique est concernée car il y va de leur sécurité mais, le Mali est doit être  au centre des combats pour montrer qu'il n'est pas un territoire franchissable.Ce qui est le contraire aujourd'hui si nous observons le capitaine Sanogo qui au lieu de réunifier la bases militaires de ce pays, est le chef de théâtre des intestines nationaux entre bérets verts et bérets rouges.Pareils pour les Etats de la CEDEAO qui on traîné les pieds avant d'avoyer les contingents  des pays respectifs.Par là l'intervention de France devient un mal-nécessaire.

lundi 18 février 2013

LA RENONCIATION DU PAPE BENOIT XVI

La communauté mondiale notamment catholique a accueilli la renonciation du Pape Benoit XVI avec beaucoup de surprise. Même si ce dernier a expliqué qu'il n'est plus à mesure d'assurer physiquement et moralement, tout reste à croire c'est parce qu'il a été mêlé dans beaucoup de scandales telle le cas des prêtres pédophiles qui ont bénéficié de sa protection, qu'il a cédé à ses pouvoirs.De là beaucoup d'encre a coulé pour maximum d'interprétations.mais ce qu'il faut retenir il y'a une nuance entre démission comme l' a écrit par la plupart des journaliste et renoncer.Quand on démissionne c'est parce qu'on est contraint tandis-que la renonciation fait appel à la responsabilité.en effet, on peut en déduire que le Pape a bel est bien peser ses mots.   

lundi 11 février 2013

compte rendu avec le directeur du cesti Mr Ibrahima sarr

Le directeur du cesti Mr Ibrahima Sarr a rendu visite aux étudiants de première du CESTI pour d'une part se présenter et d'autre part leur rappeler les strictes règles de discipline de cette école journalistique. par ailleurs il a brossé ces quelques années d'étude au CESTI tout en encourageant ces derniers à qui il  a demandé de redoubler d'efforts pour aller aussi loi ou plus loin que leurs prédécesseurs. il leur a rappelé de se méfier de certains médias qui vous prennent le maximum de temps au détriment de votre formation. il a précisé que c'est bon d'avoir des rémunérations et de travailler mais l'objectif d'un étudiant du CESTI est de sortir avec son diplôme au bout de ses trois ans de formation.