L’opération servale avait plongé l'opinion africaine dans une utopie de fin de guerre. La réalité a montré qu'une guerre on sait la commencer mais on ne sais pas l'arrêter.La France était allée très vite en besogne lorsqu'elle avait annoncé la date de son retrait en février.Ignore t-elle qui sont les islamistes? Ou c'est son arsenal de guerre qui lui avait poussé à se bombait la torse? Mais face à ses pertes susceptibles d'alerter l'opinion française qui peut s'interroger au nom de quoi allons nous perdre nos fils, elle est entrain de se réveiller de son sommeil profond. En plus les jihadistes sont des orthodoxes qui n'ont pas peur de la mort car ils croient que le paradis les attend ouvertement.Ils savent non seulement les coins et les recoins du désert et peuvent apparaître et disparaître quand ils veulent; mais aussi déposer des bombes ça et là. Même s'ils tuent un français cela est perçu chez eux comme une victoire car un "ennemi de l'islam vient de tomber.Face à ce constat on peut en déduire que la guerre au mali est loin de terminer et pour mieux dire elle est entrain de s'enliser. Le conflit malien risque d'être un Afghanistan bis.
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