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Par ailleurs, l'Union Africaine (UA) et la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) sont incapables de rendre opérationnelle la force africaine en attente (FAA). A chaque acte de banditisme perpétré par les mouvements extrémistes, nous sommes obligés de recourir à l'aide armée occidentale ou à leurs injonctions. Au Mali, il a fallu l'intervention Serval pour repousser l'avancée des groupes islamistes vers Bamako. Au Nigéria, peut-être, on attend celle des Etats-Unis ou la France pour libérer presque trois cents lycéennes enlevées au lycée de Chibok.
Notre scepticisme n'est pas une fierté mal placée. Nous ne sommes pas contre l'aide militaire des pays étrangers, tenant compte même des intérêts qui se cachent derrière. Nous sommes contre la dépendance. Les africains doivent être conscient que toute aide est ponctuelle. En plus, l'opinion des gens de ces pays est hostile à la perte incessante de leurs fils. Donc, il est temps que l'Afrique prenne son indépendance sécuritaire.
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