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jeudi 20 juin 2013

Les accords de Ouagadougou pourront-ils durer?


Après une dizaine de jours de négociations, le gouvernement malien et le mouvement touareg conjoint Mouvement national pour la libération de l’Azawad et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (MNLA) sont finalement parvenus à un accord. Reste à voir si ces accords auront un avenir.


photo des accords de Ouadougou
L'accord entre le gouvernement malien et le Mouvement national pour la libération de l'Azawad a été finalisé ce mercredi, 18juin, à Ouagadougou. « Accord préliminaire à l’élection présidentielle et aux pourparlers inclusifs de paix au Mali », ainsi est intitulé l’accord.Le seul point qui constituait l'épine de cette négociation a été le retour de l'armée malienne à Kidal. A la longue, ils ont trouvé un terrain d'entente.Ils se sont mis d’accords sur la présence d'une armée conjointe à la mission des nations-unies pour le mali (Misma) et au Serval.Cependant, quelque soit l'équilibre de cet accord, il connait beaucoup de limites.Les exactions de l'armée malienne continuent toujours. et le fait que les Touaregs demande une armée conjointe prouve qu'ils sont un peu réticents sur l'accord concernant la présence de l'armée malienne au Kidal. Par ailleurs, le désarmement des touaregs devrait être effectif.Tous ceux-ci sont contradictoires aux accords de paix.

lundi 17 juin 2013

La question sur le mandat du président de l'assemblée nationale: Revenir à l'orthodoxie

photo de l'assemblée natonale

Si il y a une question qui agite l'arène politique sénégalaise en ce moment c'est le mandat du président de l'assemblée nationale. Soulevée par le secrétaire général  du parti politique Rewmi, Idrissa Seck, elle risque de diviser au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar.


La question sur le mandat du président de l'assemblée nationale a fait couler beaucoup de salive.En effet, soulevée par un des membres de la coalition présidentielle, Idrissa Seck,elle est considérée par les inconditionnels du président comme une propagande pour déstabiliser la mouvance présidentielle. Ce qui n'étonne pas les Sénégalais car pour qui connais cet figure de l’opposition, sait qu' il est très rusé. Cependant force est de reconnaître qu'il faut revenir à l'orthodoxie pour de bonnes et simples raisons: Il faut qu'il ait une continuité dans le travail, il faut faire corriger la loi Sada Ndiaye qui était un jeu politique politicien.Surtout, l'assemblée pour que l'assemblée ne soit pas inférieure à l'exécutif.

samedi 8 juin 2013

RTS, une autre étape de la visite des étudiants en première année au CESTI

Les étudiants en première année au Centre d'Etudes des Sciences de Techniques de l'Information (CESTI) ont effectué leur quatrième visite pédagogique à la radio télévision sénégalaise RTS. Une visite de familiarisation avec cette structure publique où  la plupart des journalistes souhaitent travailler.

photo des étudiants en visite à la RTS
La visite continue du coté des étudiants en première année au cesti. Cette fois-ci, ils ont visité la RTS, la première chaîne nationale sénégalaise, située au boulevard Général De gaule. Nouveau bâtisse construit par  lesJaponais en 1992, la RTS est une constellation de radios et de télévision avec une ligne éditoriale qui varie d' un organe à une autre. A ce qui concerne la radio comme la télé, elle est la seule à diffuser ses informations en langue s nationales."La RST n'est pas un média d'Etat mais un service publique" a déclaré Aliou Ndao chef du desk politique pour relativiser les propos qui soutiennent que la rts est un média qui est du coté de l'Etat. Ce qu'il faut retenir est que les informations étatiques sont prioritaires car c'est lui même qui finance celle-ci.
Elle est constituée d'un dispositif matériel et personnel assez important même si elle est confrontée aussi des difficultés. Ces dernières sont d'ordre financier et dans une moindre mesure technique. Ses réunions de rédactions sont des réponses apportées aux éditions d'avant hier afin d'éviter les erreurs de la veille.
Par ailleurs, les étudiants ont saisi cette occasion pour échanger avec le personnel et les dirigeants.Ce qui les permis d'éclaircir certains points qui étaient jusqu'ici des zones d'ombre sur cet organe de presse.

vendredi 7 juin 2013

Les étudiants en première année du Cesti en contact avec la BBC

Les étudiants en première année au Centre d'Etudes des Sciences et Techniques de l'Information (CESTI) ont effectué  ce vendredi, une visite pédagogique à la BBC. Une radio qui se spécifie par sa diversité linguistique et culturelle. Celle-ci entre toujours dans le cadre de la découverte du milieu professionnel dans lequel ils sont appelés à  travailler.

La première étape de la visite a consisté à aller à la découverte des locaux tels sont le studio du journal parler , la salle de rédaction et le régi. A cette occasion, ils ont assisté au bulletin d'information présenté par Atta un belge d'origine rwandais. La seconde étape est une série de questions réponses.
Une BBC dans la diversité
La spécificité de cette dernière réside dans sa diversité linguistique et culturelle.En effet, ses journalistes sont d'origines et de langues diverses. Cause pour la quelle ses réunions de rédaction entre les membre du bureau sont faites  en anglais. En plus ses journaux en Afrique sont en langues française ( bureau de Dakar ), en kenyarwanda (Nairobi) ,en aoussa (Abuja) en swahili (Kyenya). Ses  bureaux se résument en trois sur le sol africains à part les petits services basés en RDC Congo, Juanesbourg etc.
Une ligne éditoriale d'information générale 
La BBC met l'accent uniquement sur l'information, il n'a pas  de commentaires.Ses sources d'informations sont pour la plus part les agences de presse auxquelles ils reprennent en recoupant l'information à travers leurs correspondants sur place.
Son budget financier est assuré non pas par l'Etat mais par les citoyens britanniques et les taxes que ce premier prélève sur les services.
Ainsi, on peut déduire par la suite de cette visite que la BBC est très organisée en équipement et que sa richesse aussi se trouve dans sa diversité.

Le débat bas des politiciens

Le débat politique sénégalais a dégringolé de l'échelon de la respectabilité et de la responsabilité tel est le constat fait par tout le monde.Au lieu de s'intéresser aux préoccupations des populations, les politiciens se livrent à une guerre verbale qui fait penser au monde des animaux où c'est l'instinct  qui commande.