Le centre d'études des sciences et techniques de l'information(CESTI) a reçu ce mercredi Pape Diouf, l'ancien président de l'Olympique de Marseille. Ce dernier a fait une conférence sur son actuel livre, intitulé: C'est plus qu'un jeu, lequel a fait l'objet de plusieurs critiques notamment sur sa personne et la gestion de l'olympique de Marseille.
C'est aux environs de 16 h 30 mn que l'ancien président de l'Olympique de Marseille est arrivé dans les locaux du cesti. Le directeur, Mr Ibrahima Sarr après avoir pris le soin de le présenter aux étudiants, a estimé que c'est un homme à qui il faut profiter de l'expérience.
Pape Douf, un citoyen qui a pu côtoyer toutes toutes les situations du monde.
Séparé de son pays natal, il a fréquenté très tôt la France un pays de ses rêves.Un pays où la discrimination raciale est notoire.Mais,au sein duquel il affirme y être une exception.Ce qui veut dire qu'il a été envié et jalousé pas à cause de sa couleur mais de ses acquis et sa persévérance. A chaque difficulté il a su se redresser et la dépasser.C'est un homme à toutes les situations.Chez lui, la haine de la médiocrité est un culte.
Un homme attaché à sa mère.
"A toute difficulté, la première chose est de pensée à ma mère" tels sont les propos de cet homme très ému dont les paroles sont celles d'une personne très attaché à sa mère.
Pape Diouf et l'argent.
Par ailleurs, il précise que l'argent n'est pas son moteur et qu'il est distant avec ce dernier.
L'homme de la providence
Un homme qui n'a rien à se reprocher de la gestion de l'olympique du Marseille et affirme avoir couvert le déficit et laissé à la caisse 40 milliards à son départ.
Une oeuvre qui a fait parler de lui.
Son livre a suscité un débat étonnant en France.Ce qui fait sa popularité.A la fois autobiographique et narrative, cette oeuvre a mobilisé des regards à la fois couroucés et critiques.D'aucuns l'ont qualifiée d'un règlement de compte, d'autres dénoncent l'emploi du " je".Ce dernier estime "s'ils avaient la gentillesse et l’amabilité de me proposer un autre, je l'aurait pris".Elle lui a aussi valu l'attaque de certains responsables de l'olympique de Marseille.
Une carrière journalistique éphémère
Journaliste de profession, il a très tôt jeté sa plume.Ceci est dû, au fait q'une fois en France, il a trouvé des conditions différentes de celles qu'il avait connues.En plus, il déplore quelque part le métier qui, parfois, ne fait pas appel à une observation du sens de la responsabilité.